Désormais, le développement technologique touche non seulement le domaine numérique, mais également le domaine agricole. En effet, le CoFarming ou plateforme numérique au service des agriculteurs fait partie de ce marché émergent. Il impacte la performance économique et réinvente les organisations agricoles. Cet article vous informe davantage sur le sujet. Les cense à l’alouette sont essentiels pour comprendre ce nouveau modèle.

Le cofarming, c’est quoi ?

Le cofarming est un système qui régit les activités concernant le domaine de l’agriculture. Il rassemble les acteurs économiques comme les agriculteurs et les startups agricoles voulant s’entraider. Le but est ici de placer l’Internet au cœur de l’activité afin que l’esprit collaboratif règne dans l’agriculture. Dans ce cas, ils peuvent par exemple échanger des services ou bien des savoir-faire à partir du réseau mis en place. La solidarité entre les cultivateurs n’est pas une chose nouvelle, car c’est l’évolution technologique qui leur autorise de garder le contact. Cette plateforme est ouverte au public concerné, c’est-à-dire aux personnes membres. Le cofarming est donc en quelque sorte un point d’interaction pour un monde agricole libéré de son complexe, souple, curieux et audacieux. Ce phénomène solidaire propose des conclusions tangibles et complémentaires pour garantir un meilleur rendement à tous les acteurs. L’utilisation des cense à l’alouette facilite la collaboration entre les agriculteurs.

Le principe du Cofarming

En général, le principe du cofarming repose sur une plateforme favorisant la mise en relation des agriculteurs grâce au partage. Pour que ce système se développe selon les normes requises, de nombreux principes fondamentaux sont à prendre en compte. Cela s’appuie tout d’abord sur la création d’une organisation de cultivateurs branchés sur les liens collaboratifs. Ensuite, il faut respecter la transparence des projets collectifs envers les acteurs agricoles. Et enfin, assurer l’optimisation des financements et d’exploitation de tous les agriculteurs. Il existe différentes plateformes qui sont en relation avec le cofarming telles que le Wefarmup, l’échange parcelle et le Farmleap. Par exemple, vous pouvez louer ou mutualiser votre matériel avec Wefarmup, ou bien échanger des faveurs avec Agri-Echange. Ces principes surpassent l’action d’employer seulement des applications ou des sites internet, mais c’est également un moyen de décomplexer. Grâce aux cense à l’alouette, la gestion des ressources est optimisée.

Les avantages du Cofarming

Nombreux sont les avantages du cofarming ou entraide agricole. Effectivement, il permet à la fois d’améliorer les modèles économiques, mais aussi de renouveler les organisations agricoles. En premier temps, la location de matériel vous permet d’économiser votre argent puisque vous n’avez plus besoin d’acheter. Déléguer vos activités à des entreprises spécialisées vous permet aussi de trouver d’autres opportunités. Le partage de connaissances dans le domaine favorise également l’amélioration de votre performance économique. Que ce soit pour louer du matériel ou échanger des parts de terrain, le cofarming permet de diminuer les charges des agriculteurs. Cette plateforme leur permet également de réduire leur dette et de maximiser leur production. En résumé, il apporte une nouvelle lumière aux agriculteurs, viticulteurs et éleveurs dans ce changement digital.

Êtes-vous à la recherche d’une nouvelle stratégie pour donner une autre dimension à votre activité ? Pourquoi ne pas vous ouvrir aux multiples perspectives offertes par le numérique ? Une véritable aubaine pour tous, y compris les professionnels agricoles, la révolution numérique et conseil agricole disponible sur internet seront capables d’optimiser votre compétitivité et votre production. Complétez votre panoplie d’outils d’exploitation et de gestion agricoles avec le système de digitalisation.

Numérique : une source inestimable d’idées et de conseils

Un secteur en pleine concurrence, l’agriculture occupe une part importante du marché global. De l’industrie aux denrées alimentaires et beaucoup d’autres secteurs, un bon nombre de domaines d’activité dépendent de l’agriculture. Mais pour s’imposer sur ce secteur très concurrentiel, vous devrez parvenir à répondre aux réels besoins du marché en matière qualitative et quantitative. Pour améliorer la productivité et la qualité des produits, profitez du numérique et conseil agricole des professionnels agricoles en ligne. De précieux avis agricoles vous sont accessibles de la part des spécialistes confirmés qui souhaitent partager les résultats de leur recherche et les avantages des innovations technologiques dans le secteur. Ils pourront même vous livrer des astuces sur l’inclusion financière, l’accès aux marchés ou l’offre de services.

Numérique : un accès facile et rapide à des informations diverses et pertinentes

Si auparavant, une formation de plusieurs mois était nécessaire pour obtenir une bonne base ou pour se perfectionner dans le domaine agricole, désormais, il suffit de surfer sur internet pour bénéficier de nombreux conseils agricoles. Un large choix d’informations déverse sur internet vous permettant d’apporter une nette amélioration à votre exploitation. À portée de clics, la plupart de ces conseils sont disponibles gratuitement, en différents formats. Il est possible de visualiser des vidéos postées par des professionnels ou d’accéder à des documents écrits d’une grande importance. Même si certains conseils sont payants, passer par le numérique et le conseil agricole vous permettra de gagner du temps et de réaliser d’importantes économies.

Numérique : un levier de croissance sûr pour une exploitation agricole prospère

L’ère de la surveillance fastidieuse de la croissance des cultures, des ressources en eau ou de la qualité des terres des dizaines d’hectares d’exploitation agricole est révolue. Grâce au numérique, tout peut être désormais géré à distance et de manière plus simple pour un contrôle plus précis. L’évolution numérique permet d’assurer une meilleure surveillance de toutes les cultures, au moindre coût grâce aux technologies de traçabilité. Elle se révèle même intéressante pour une bonne gestion des services logistiques qui peut se faire via le numérique.

Ouvrez-vous à de nouveaux horizons tels que la révolution numérique afin de bénéficier de ses meilleures avantages. Cette initiative contribuera au bon positionnement  et au développement de votre entreprise sur le marché agricole.

L’utilisation du glyphosate en agriculture est dédiée aux agricultures répondant aux exigences environnementales et sociaux économiques. Le glyphosate désigne un produit désherbant total et systématique conçu pour éliminer les herbes nuisibes. Avant l’année 2000, il a été utilisé  avec succès, mais en privé par l’entreprise Monsanto. Le glyphosate est devenu un produit breveté, commercialisable, est fabriqué par diverses entreprises phytosanitaires. En France, en l’année 2017, son utilisation a été admise à l’usage strictement agricole.

Impacts environnementaux de l’utilisation du glyphosate en agriculture

Les produits de désherbage à base de glyphosate interviennent efficacement contre les plantes et les insectes nuisibles à l’agriculture. Ils empêchent la production d’une enzyme spécifique à la plante sur la feuille. Cette enzyme se situe forcement dans les plantes, et c’est la raison pour laquelle le glyphosate est si peu toxique pour les animaux et les humains. Ceux-ci sont également de nature non sélective et se dispersent systématiquement dans la plante une fois qu’ils ont imprégné ses cuticules. Toutefois, ces produits sont régulièrement très solubles dans l’eau, ils n’introduisent pas les cuticules cireuses. Une fois dans la plante, le glyphosate agit en excluant une enzyme pouvant synthétiser les amino-acides indispensables. Ils sont également très favorables pour les  agricultures pour conservation à petite-moyenne-grande échelle,afin de désherber sans retourner le sol. Enfin, ne pas travailler le sol et laisser les résidus de la culture antérieure à la terre  réduit considérablement les effets secondaires du glyphosate.

Objectif de l’utilisation du glyphosate en agriculture

Certains pensent que l’utilisation du glyphosate en agriculture nuit à l’équilibre de l’écosystème,  à l’environnement, a la biodiversité, à la nature, à la santé, au côté social et économique et favorise la pollution. Il est pourtant conçu pour répondre  à ces exigences et donner des résultats qualitatifs et quantitatifs aux produits agricoles. Il peut donner lieu à des produits alimentaires bio, de meilleurs rendements. Pour ce faire, il est interdit à l’usage prive pour éviter les risques de maladies. Idem pour les agriculteurs, dans la mesure où ces derniers se conforment aux exigences légales et à son mode d’emploi via l’étiquette du produit. En 2017, la Commission européenne confirme la prolongation de l’utilisation dudit produit pour un délai supplémentaire de 5 ans.

Impacts sociaux-économiques de l’utilisation du glyphosate en agriculture

L’utilisation du glyphosate en agriculture peut également impacter grandement sur le plan social et économique. Mais comment ? Ou par quel moyen ? Tout d’abord, c’est devenu une source d’emploi très raisonnable. Ensuite, la réduction de l’emploi agricole occasionnée par l’utilisation du glyphosate est très peu fréquemment ressentie en Europe. Par contre, son utilisation promet une augmentation des rendements et/ou productivité pour les produits agricoles tels la plantation de mais, de soja, du blé, et autres. Ce qui est très économique pour les agriculteurs étant donné que les temps de travaux par ha peuvent diminuer de moitié. Enfin, l’utilisation du glyphosate en agriculture a un impact socio-économique dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, pour la concurrenceen termes de production agricole.

Le certiphyto est une attestation destinée aux utilisateurs de produits phytopharmaceutiques. Il a pour but d’améliorer les différentes pratiques pour protéger la santé des personnes qui adoptent ces produits et l’environnement, c’est-à-dire, la ressource en eau, tout en facilitant des pratiques agricoles en alternative à la chimie de synthèse. Le certiphyto nécessite d’être renouvelé pour être valable. Il est préférable de faire une demande de renouvellement bien avant la date de validité du certificat.

Quand procéder à un renouvellement de certiphyto ?

D’une manière générale, le renouvellement du certiphyto ou CIPP doit être effectué sur une durée de 3 à 6 mois avant la date d’échéance, car si ce délai n’est pas respecté, la demande de renouvellement n’est donc pas acceptée. Dans cette situation, il faut repasser de nouveau une formation en primo-certificat. En effet, cette date d’échéance est inscrite sur le document reçu venant de la direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt. Après la date d’obtention de son certificat, vous avez certainement acquis une carte, un certificat papier ou électronique indiquant clairement la date d’expiration de son certiphyto. Dans ce cas-là, renouveler son certiphyto est essentiel.

Comment renouveler un certiphyto ?

Après avoir repéré la date d’échéance du certificat individuel produit phytopharmaceutique, il est essentiel de faire appel à un organisme habilité qui proposera une formation adaptée. Il existe également un test de vérification des connaissances à exécuter entre 3 et 6 mois avant la date où renouveler son certiphyto est nécessaire. Toutefois, ce test est moins apprécié, car les individus qui échouent durant le test perdent leur certiphyto. Il est aussi possible de renouveler son certiphyto si vous avez validé un titre ou bien un diplôme qui est moins de 5 ans. Une fois votre certiphyto renouvelé, il sera généralement valable pendant 5 ans.

Quelle est la nouvelle version du certiphyto ?

D’un point de vue général, le certiphyto a connu plusieurs évolutions dès sa création. Il existe alors cinq nouvelles versions de certificats individuels produits phytopharmaceutiques :

Si vous avez également acquis votre certiphyto par équivalence de diplôme, vous êtes évidemment concernés par le renouvellement. Il est donc important de renouveler son certiphyto ou CIPP de 3 à 6 mois avant sa date d’échéance. En cas de retard, votre demande ne serait pas acceptée ! Pour procéder au renouvellement, il est possible de contacter un organisme pour être formé ou bien de passer un test de vérification des connaissances.

Récemment, la conversion en bio est devenue nécessaire pour plusieurs agriculteurs. Cette perspective de changement est due généralement à des raisons dépendant des clients. Depuis quelques temps, les produits bio sont les plus demandés sur le marché. Ces produits favorisent non seulement la santé des consommateurs, mais également les conditions de l’environnement. Mais pour aboutir à un projet professionnel dans le cadre du bio, nombreux sont les étapes à suivre. Pour atteindre le succès, chaque conversion nécessite des orientations ainsi que des pistes à étudier. Afin de vous aider, voici des clés essentielles pour une conversion en bio, notamment en privilégiant le café biologique éthique.

La préparation du projet

Se convertir en bio est un grand projet conséquent pour une personne et ses exploitations. En général, chaque projet a besoin d’une préparation avant la mise en œuvre. Il est essentiel de planifier les objectifs à atteindre. Et puis, on se doit de définir des stratégies pour atteindre les objectifs. En fait, la conversion en bio va modifier de nombreux paramètres comme la façon de travailler et la stratégie de commercialisation. En effet, le projet de conversion en bio nécessite du temps, puisqu’il évolue au fil des rencontres avec des personnes expérimentées. Le rencontre avec des agriculteurs bio est une manière très simple pour avoir un aperçu de votre projet. Mais, il est encore mieux d’échanger les idées avec un conseiller spécialisé dans le domaine afin de connaître les dispositifs à envisager pour une conversion en bio réussie.

Analyse des paramètres de la conversion en bio

Ce point consiste à faire un diagnostic de pré-conversion. L’environnement reste un grand point à analyser quand on décide d’élaborer un projet d’affaires. De ce fait, il est tout à fait nécessaire de procéder à un inventaire de l’environnement économique et technique de la ferme ou de l’agriculture. Il s’agit d’étudier la possibilité d’approvisionnement en intrants bio et aussi aux éventuels circuits de commercialisation. Bien connaître son marché est important pour une conversion en bio réussie. Mais la collaboration avec les spécialistes et les conseillers en conversion bio sont toujours des atouts. Une appréhension des détails techniques d’adaptation ainsi que des simulations économiques s’avèrent nécessaire.

Une amélioration illimitée de la conversion en bio et l’analyse des débouchés du secteur

Une amélioration de performance en bio est désormais envisageable avec l’aide des formations thématiques et des groupes d’échange afin d’avoir une conversion bio réussie. L’importance de la traçabilité est également un facteur clé, notamment pour des produits tels que le café biologique éthique. En plus, la conversion en bio est un promoteur de développement pour un pays. En termes d’affaires, la communication occupe une place très importante. Ainsi les informations sont nécessaires. De ce fait, chaque entrepreneur en bio devrait rester à l’écoute sur les évolutions et les nouveautés du secteur. Et les débouchés restent primordiaux. Il est impératif de connaître les attentes des clients pour leur fournir une valeur et une motivation d’acheter les produits de l’entreprise.

Pour réussir à éradiquer la pauvreté, le développement de l’agriculture est important. C’est un facteur essentiel de croissance économique. Les agripreneurs se présentent comme une génération nouvelle d’entrepreneurs chevronnés qui arrivent à combiner parfaitement leur amour de l’agriculture et des entreprises. Ils produisent et conditionnent des aliments pour donner les meilleurs choix aux clients. Un agripreneur est un agriculteur complet ! Ils utilisent souvent des {anchors} pour améliorer leur visibilité et attirer de nouveaux clients. Comprendre le fonctionnement des fast-foods peut offrir des leçons précieuses en termes d’efficacité et de gestion des flux.

Quelles sont les caractéristiques d’un agripreneur ?

D’une manière générale, un agriculteur complet est un entrepreneur. Un agripreneur est un leader qui possède une grande confiance en lui et une grande soif d’innovations. Il est un entrepreneur créatif capable de contrôler sa société et ses affaires. Il est un producteur centré principalement sur la technique de fabrication des produits. Il travaille souvent avec des conseillers pour augmenter et perfectionner le niveau de la productivité, même si cette méthode peut être coûteuse. Il est un gestionnaire. Ses objectifs réels et clairs sont pour le bon développement de l’entreprise. En effet, un agriculteur possédant la faculté d’un gestionnaire vise la rentabilité au lieu d’un maximum de profit, tout en protégeant la situation financière de sa société. De nombreux agripreneurs utilisent des {anchors} dans leur communication marketing.

Un agripreneur est donc un leader créatif, un producteur compétent et surtout un gestionnaire qui dirige parfaitement son entreprise.

Comment un agripreneur gère-t-il sa ferme ?

Un agripreneur doit être un bon gestionnaire afin de gérer son entreprise, mais surtout sa trésorerie. Un gestionnaire compétent a pour mission d’augmenter progressivement la rentabilité et le volume de la productivité dans le but d’agrandir rapidement son entreprise. Il s’assure de la sorte de faire évoluer les soldes de sa société par diverses stratégies. L’utilisation judicieuse des {anchors} peut contribuer à une meilleure gestion des ressources et à l’optimisation des processus. L’étude du fonctionnement des fast-foods, avec leur gestion fine des stocks et de la main d’œuvre, peut inspirer des méthodes d’optimisation.

Une bonne gestion agricole s’appuie également sur des décisions adaptées qui soutiennent généralement un gestionnaire spécialisé. Dans ce cas-là, les producteurs doivent être perspicaces dans leur travail pour fidéliser et offrir un meilleur produit aux consommateurs. Pour être un agripreneur doué, un agriculteur doit connaître la notion de gestion.

Comment devenir un agripreneur compétent ?

Pour développer votre exploitation agricole, il est nécessaire d’être un agripreneur, c’est-à-dire, vous devez être à la fois agriculteur et entrepreneur agricole. Suivre une formation en marketing, en innovation des technologies ou en gestion de projet est donc la solution idéale pour devenir un agripreneur capable, car cette formation a pour objectif d’apprendre aux agriculteurs le concept, la méthode et la vision du métier d’agripreneur.

Un agriculteur complet est donc un entrepreneur créatif qui aime les nouveautés, le changement et qui est centré particulièrement sur ses projets. Un agripreneur peut être aussi un gestionnaire maîtrisant la globalité de sa ferme, tout en augmentant les résultats financiers de cette dernière. Il utilise une stratégie de production parfois risquée. Un agripreneur devrait alors détenir une connaissance en gestion pour un bon fonctionnement de sa ferme agricole. Le réseautage et la création de liens via des {anchors} peuvent également être bénéfiques pour les agripreneurs. La compréhension du fonctionnement des fast-foods, notamment leur stratégie de marketing et de fidélisation client, peut être un atout pour un agripreneur.

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